Dans la salle des profs, tout le monde déjeune. Plus une place pour s'asseoir.
Dans la salle 56, que de que de place pour s’asseoir. Deux étudiants déjeunent.
Dans le hall, les bancs sont assaillis. L’endroit bruit au déjeuner.
Au secrétariat, plus personne. Fatima et Nathalie sont allées déjeuner.
Dans le couloir, pas grand-monde. Chacun a dû aller déjeuner.
Dans le couloir, ça s’anime car les étudiants commencent à s’agglutiner.
Dans la salle des profs, ça se vide, il flotte une odeur de café.
Au secrétariat, Fatima et Nathalie sont de retour à leur poste.
Dans la salle 56, tout le monde est là. Le cours peut commencer.
Dans le hall, l’ascenseur sonne et expulse un étudiant pressé. En retard.
Dans le hall, rien. Parfois un passant rompt la monotonie.
Dans le couloir, personne et pourtant des éclats de voix graves.
Dans la salle 56, c’est l’ébullition : les cerveaux bouillent et les voix tonnent.
Dans la salle des profs, difficile de se concentrer ; seul mais pourtant présent de l’autre côté de la cloison en imagination.
Au secrétariat, c’est le téléphone ou l’étudiant égaré qui fait s’interrompre.
Au secrétariat, entre deux cours, c’est l’assaut : questions, signatures, dossiers.
Dans le hall, on grignote, on sirote, on sifflote, on parlote, on se bécote.
Dans la salle des profs, on vient chercher des photocopies et on tente de faire du café.
Dans le couloir, des étudiants vautrés, sans doute harassés de leur longue journée.
Dans la salle 56, plus que quelques étudiants obligés d’attendre un dernier ou un prochain bus.
Dans la salle 56, la lumière reste allumée pour donner aux tables et aux chaises l’impression que la journée n’est pas finie.
Au secrétariat, c’est enfin l’heure d’éteindre l’ordinateur et de rentrer.
Dans le couloir débute le ballet des femmes de ménage.
Dans le hall, l’ascenseur sonne une dernière fois.
Dans la salle des profs, on se résout à ne pas passer la nuit sur place et on vide enfin les lieux.
Dans la salle des profs, tout le monde déjeune. Plus une place pour s'asseoir.
Dans la salle 56, que de que de place pour s’asseoir. Deux étudiants déjeunent.
Dans le hall, les bancs sont assaillis. L’endroit bruit au déjeuner.
Au secrétariat, plus personne. Fatima et Nathalie sont allées déjeuner.
Dans le couloir, pas grand-monde. Chacun a dû aller déjeuner.
Dans le couloir, ça s’anime car les étudiants commencent à s’agglutiner.
Dans la salle des profs, ça se vide, il flotte une odeur de café.
Au secrétariat, Fatima et Nathalie sont de retour à leur poste.
Dans la salle 56, tout le monde est là. Le cours peut commencer.
Dans le hall, l’ascenseur sonne et expulse un étudiant pressé. En retard.
Dans le hall, rien. Parfois un passant rompt la monotonie.
Dans le couloir, personne et pourtant des éclats de voix graves.
Dans la salle 56, c’est l’ébullition : les cerveaux bouillent et les voix tonnent.
Dans la salle des profs, difficile de se concentrer ; seul mais pourtant présent de l’autre côté de la cloison en imagination.
Au secrétariat, c’est le téléphone ou l’étudiant égaré qui fait s’interrompre.
Au secrétariat, entre deux cours, c’est l’assaut : questions, signatures, dossiers.
Dans le hall, on grignote, on sirote, on sifflote, on parlote, on se bécote.
Dans la salle des profs, on vient chercher des photocopies et on tente de faire du café.
Dans le couloir, des étudiants vautrés, sans doute harassés de leur longue journée.
Dans la salle 56, plus que quelques étudiants obligés d’attendre un dernier ou un prochain bus.
Dans la salle 56, la lumière reste allumée pour donner aux tables et aux chaises l’impression que la journée n’est pas finie.
Au secrétariat, c’est enfin l’heure d’éteindre l’ordinateur et de rentrer.
Dans le couloir débute le ballet des femmes de ménage.
Dans le hall, l’ascenseur sonne une dernière fois.
Dans la salle des profs, on se résout à ne pas passer la nuit sur place et on vide enfin les lieux.
Au rond-point, tourne tourne manège.
Dans l'avenue, une foule de gens s'entasse.
Sur le trottoir, un piéton patiente.
A côté du boulevard, des vieillards discutent.
Près du croisement, il ne se passe rien.
Près du croisement, quelques voitures arrivent.
Au rond-point, le tournis s'installe.
A coté du boulevard, le ton monte, la dispute s'annonce.
Dans l'avenue, on s'en va.
Sur le trottoir, un piéton patiente encore.
Sur le trottoir, un piéton patiente toujours.
Près du croisement, quelques voitures repartent.
Dans l'avenue, les têtes disparaissent.
Au rond-point, toutes les sorties se ressemblent.
A côté du boulevard, coups de canne et jeté de dentiers.
A côté du boulevard, on n'a plus de munitions.
Sur le trottoir, un piéton s'impatiente.
Au rond-point, ça tourne encore.
Près du croisement, un camion passe.
Dans l'avenue, quelques intrigués traînent.
Dans l'avenue, il n'y a plus âme qui vive.
A côté du boulevard, deux vieillards boudent.
Près du croisement, il ne se passe rien.
Sur le trottoir, un piéton traverse.
Au rond-point, la voiture sort enfin.
Au rond-point, tourne tourne manège.
Dans l'avenue, une foule de gens s'entasse.
Sur le trottoir, un piéton patiente.
A côté du boulevard, des vieillards discutent.
Près du croisement, il ne se passe rien.
Près du croisement, quelques voitures arrivent.
Au rond-point, le tournis s'installe.
A coté du boulevard, le ton monte, la dispute s'annonce.
Dans l'avenue, on s'en va.
Sur le trottoir, un piéton patiente encore.
Sur le trottoir, un piéton patiente toujours.
Près du croisement, quelques voitures repartent.
Dans l'avenue, les têtes disparaissent.
Au rond-point, toutes les sorties se ressemblent.
A côté du boulevard, coups de canne et jeté de dentiers.
A côté du boulevard, on n'a plus de munitions.
Sur le trottoir, un piéton s'impatiente.
Au rond-point, ça tourne encore.
Près du croisement, un camion passe.
Dans l'avenue, quelques intrigués traînent.
Dans l'avenue, il n'y a plus âme qui vive.
A côté du boulevard, deux vieillards boudent.
Près du croisement, il ne se passe rien.
Sur le trottoir, un piéton traverse.
Au rond-point, la voiture sort enfin.
En salle 42, on ouvre les rideaux.
Dans la bibliothèque à Rabelais, on allume les ordinateurs.
Au CROUS de Copernic, on range la marchandise culinaire.
Aux toilettes du deuxième étage, on se regarde dans le miroir.
Sur le quai de Noisy-Champs, on descend du train.
Sur le quai de Noisy-Champs, on presse le pas.
En salle 42, le professeur fait son entrée.
Aux toilettes du deuxième étage, c’est désert.
Dans la bibliothèque à Rabelais, c’est la pause café, bien méritée.
Au CROUS de Copernic, le personnel s’active pour préparer de bons petits plats.
Au CROUS de Copernic, les étudiants se posent des questions métaphysiques en voyant le menu du jour.
Sur le quai de Noisy-Champs, « ce train est en direction de Marne-la-Vallée Chessy Parc Disneyland… dieser Zug endet in Marne-la-Vallée Chessy Parc Disneyland ».
Dans la bibliothèque à Rabelais, il fait une chaleur insupportable.
En salle 42, les emballages de Pasta Box et les canettes s’entassent dans la poubelle.
Aux toilettes du deuxième étage, on fait la queue et on se raconte les anecdotes du week-end.
Aux toilettes du deuxième étage, deux tiers des WC bouchés
Au CROUS de Copernic, pâtes de trois jours remises à neuf.
En salle 42, rires de M. Soubbotnik à travers la paroi.
Sur le quai de Noisy-Champs, l’agent de la RATP colle de nouvelles affiches publicitaires.
Dans la bibliothèque à Rabelais, il n’y a pas foule à la banque de prêt.
Dans la bibliothèque à Rabelais, les bibliothécaires te rappellent que ça ferme dans une heure.
Aux toilettes du deuxième étage, le chariot de produits d’entretien trône devant la porte.
Sur le quai de Noisy-Champs, un étudiant entre in extremis dans le dernier wagon, le sourire aux lèvres.
Au CROUS de Copernic, le restaurant est vide depuis 16h déjà.
En salle 42, le dernier sorti a oublié d’éteindre les lumières.
En salle 42, on ouvre les rideaux.
Dans la bibliothèque à Rabelais, on allume les ordinateurs.
Au CROUS de Copernic, on range la marchandise culinaire.
Aux toilettes du deuxième étage, on se regarde dans le miroir.
Sur le quai de Noisy-Champs, on descend du train.
Sur le quai de Noisy-Champs, on presse le pas.
En salle 42, le professeur fait son entrée.
Aux toilettes du deuxième étage, c’est désert.
Dans la bibliothèque à Rabelais, c’est la pause café, bien méritée.
Au CROUS de Copernic, le personnel s’active pour préparer de bons petits plats.
Au CROUS de Copernic, les étudiants se posent des questions métaphysiques en voyant le menu du jour.
Sur le quai de Noisy-Champs, « ce train est en direction de Marne-la-Vallée Chessy Parc Disneyland… dieser Zug endet in Marne-la-Vallée Chessy Parc Disneyland ».
Dans la bibliothèque à Rabelais, il fait une chaleur insupportable.
En salle 42, les emballages de Pasta Box et les canettes s’entassent dans la poubelle.
Aux toilettes du deuxième étage, on fait la queue et on se raconte les anecdotes du week-end.
Aux toilettes du deuxième étage, deux tiers des WC bouchés
Au CROUS de Copernic, pâtes de trois jours remises à neuf.
En salle 42, rires de M. Soubbotnik à travers la paroi.
Sur le quai de Noisy-Champs, l’agent de la RATP colle de nouvelles affiches publicitaires.
Dans la bibliothèque à Rabelais, il n’y a pas foule à la banque de prêt.
Dans la bibliothèque à Rabelais, les bibliothécaires te rappellent que ça ferme dans une heure.
Aux toilettes du deuxième étage, le chariot de produits d’entretien trône devant la porte.
Sur le quai de Noisy-Champs, un étudiant entre in extremis dans le dernier wagon, le sourire aux lèvres.
Au CROUS de Copernic, le restaurant est vide depuis 16h déjà.
En salle 42, le dernier sorti a oublié d’éteindre les lumières.
Dans la salle de classe, un élève se plaint.
Au resto U, la foule se regroupe.
Le hall est vide.
L’amphi aussi.
La cafétéria abrite les plus rapides.
La cafétéria , offre sandwichs et boissons
Dans la salle de classe, l’élève affamé patiente.
L’amphi est toujours vide.
Au resto U, les élèves mangent avec appétit.
Le hall se remplit.
Le hall, tout le monde y passe, personne n’y reste.
La cafétéria se vide à 14h.
Au resto U, les étudiants terminent leur repas.
Dans la salle de classe, l’élève savoure son sandwich.
L’amphi, toujours désert, mais plus pour longtemps.
L’amphi se remplit d’étudiants.
Le hall se vide.
Dans la salle de classe, l’élève entame son dessert.
La cafétéria devient un foyer.
Au resto U, tout le monde s’en va.
Au resto U, le silence règne.
L’amphi devient bruyant.
La cafétéria se vide.
Le hall accueille les retardataires.
Dans la salle de classe, l’élève a toujours faim.
Dans la salle de classe, un élève se plaint.
Au resto U, la foule se regroupe.
Le hall est vide.
L’amphi aussi.
La cafétéria abrite les plus rapides.
La cafétéria , offre sandwichs et boissons
Dans la salle de classe, l’élève affamé patiente.
L’amphi est toujours vide.
Au resto U, les élèves mangent avec appétit.
Le hall se remplit.
Le hall, tout le monde y passe, personne n’y reste.
La cafétéria se vide à 14h.
Au resto U, les étudiants terminent leur repas.
Dans la salle de classe, l’élève savoure son sandwich.
L’amphi, toujours désert, mais plus pour longtemps.
L’amphi se remplit d’étudiants.
Le hall se vide.
Dans la salle de classe, l’élève entame son dessert.
La cafétéria devient un foyer.
Au resto U, tout le monde s’en va.
Au resto U, le silence règne.
L’amphi devient bruyant.
La cafétéria se vide.
Le hall accueille les retardataires.
Dans la salle de classe, l’élève a toujours faim.
Copernic, rentrée : bâtiment… OK, escalier… OK, étage… OK, salle… euh je suis déjà passée par là…
Rabelais, je marche tout droit et je tomberai dessus… OK, donc ce doit être ce bâtiment pointu…
Lavoisier, chimiste, philosophe et économiste français, rien que ça.
Bois de l’étang, c’est un bâtiment de la fac ? Ah oui ? Assez poétique comme nom…
L’IFI, I pour institut, F pour francilien et I pour ingénierie.
L’IFI, tant que l’on ne me demande pas de trouver ce bâtiment, ça ira.
Copernic, ces escalators fonctionneront-ils un jour ?
Bois de l’étang, une conférence, ça vous dit ? Ah non, trop loin !
Rabelais, arriverai-je un jour à ouvrir ces portes sans aide ?
Lavoisier, c’est lui qui a donné son nom à la loi de conservation de la masse.
Lavoisier, c’est lui qui a démis la théorie phlogistique.
L’IFI, noir sur blanc, sur le planning des examens, il va falloir se lever tôt pour trouver son chemin.
Rabelais, qu’est-ce qu’il fait chaud pour une bibliothèque !
Copernic, bâtiment, café, escalator, étage, salle : une routine s’installe.
Bois de l’étang, deux arbres, trois flaques d’eau.
Bois de l’étang, un nom bien joli pour un bâtiment gris.
Lavoisier, c’est lui qui a baptisé l’oxygène.
Copernic, c’est le centre de la cité Descartes, tous les étudiants tournent autour.
L’IFI, trouvé ! Ce n’est pas si loin de la gare si on ne se perd pas.
Rabelais, nota bene : penser à ramener les livres empruntés il y a deux mois…
Rabelais et fin d’année : examens.
Bois de l’étang et fin d’année : examens.
L’IFI et fin d’année : examens.
Lavoisier, c’est celui qui … ah c’est le nom d’un bâtiment de la cité Descartes ?
Copernic, affichage des résultats.
Copernic, rentrée : bâtiment… OK, escalier… OK, étage… OK, salle… euh je suis déjà passée par là…
Rabelais, je marche tout droit et je tomberai dessus… OK, donc ce doit être ce bâtiment pointu…
Lavoisier, chimiste, philosophe et économiste français, rien que ça.
Bois de l’étang, c’est un bâtiment de la fac ? Ah oui ? Assez poétique comme nom…
L’IFI, I pour institut, F pour francilien et I pour ingénierie.
L’IFI, tant que l’on ne me demande pas de trouver ce bâtiment, ça ira.
Copernic, ces escalators fonctionneront-ils un jour ?
Bois de l’étang, une conférence, ça vous dit ? Ah non, trop loin !
Rabelais, arriverai-je un jour à ouvrir ces portes sans aide ?
Lavoisier, c’est lui qui a donné son nom à la loi de conservation de la masse.
Lavoisier, c’est lui qui a démis la théorie phlogistique.
L’IFI, noir sur blanc, sur le planning des examens, il va falloir se lever tôt pour trouver son chemin.
Rabelais, qu’est-ce qu’il fait chaud pour une bibliothèque !
Copernic, bâtiment, café, escalator, étage, salle : une routine s’installe.
Bois de l’étang, deux arbres, trois flaques d’eau.
Bois de l’étang, un nom bien joli pour un bâtiment gris.
Lavoisier, c’est lui qui a baptisé l’oxygène.
Copernic, c’est le centre de la cité Descartes, tous les étudiants tournent autour.
L’IFI, trouvé ! Ce n’est pas si loin de la gare si on ne se perd pas.
Rabelais, nota bene : penser à ramener les livres empruntés il y a deux mois…
Rabelais et fin d’année : examens.
Bois de l’étang et fin d’année : examens.
L’IFI et fin d’année : examens.
Lavoisier, c’est celui qui … ah c’est le nom d’un bâtiment de la cité Descartes ?
Copernic, affichage des résultats.